week-end du 11 au 14 juillet 2008 dans ta face
pour ce week-end là, vu qu'il s'est passé plein de trucs et que j'avais dans l'idée à ce moment de monter ce blog, j'avais romancé le week-end...
je vais donc recopier mes écrits...
vendredi 11/07
je rentre du boulot, non sans avoir acheté des munitions en conséquence.
un coup de ménage avant que n'arrive L.H. et c'était parti pour la ribouldingue (dixit mon agenda de boulot). Première partie des festivités, L.H. et moi. Soirée à l'arrache entre le BD café et le Jam. Fini à l'arrache avec L.H. pété qui dort dans mon escalier devant la porte. E., serveuse du BD café, fait une entorse à son reglement personnel et accepte de venir boire un verre avec des clients, en l'occurence nous. Je la capte sur la route après avoir laissé le double des clés à L.H. qui au final n'arrivera pas à ouvrir le verrou qui s'ouvre à l'envers.
On arrive à l'appart avec E. après avoir enjambé puis réveillé mon animal de pote. Ca c'est la classe, surtout vu ce qu'il s'est passé par la suite durant le week-end.
samedi 12/07
La soirée s'est finie tranquille. E. est repartie dans la nuit, et, lamentablement je me suis endormi sur le canapé.
réveil difficle aux alentours de 10h.
Un peu de musique, ça réveille mon colmpagnon de piste. Au programme, south park, parker lewis, le héros de la smeaine dernière restait d'actualité. Glandage jusqu'au moment ou on va se ballader en ville. Du bon délire, malgré que nous avions la tête dans le cul de manière assez violente. Buvage du début de l'apéro.
Trois bières sur les marches descendant de la cathédrale d'Angers au quai ligny et le pire c'est que ça allait mieux après. Comme quoi...!
On part se désaltérer au BD café, je me rappell eplus très bien après. On est revenu manger en début de soirée chez moi, L. est arrivée (la femme de ma vie héhé) mais également T. un pote de BMO habitant sur Toulouse maintenant. 13 et R., la paie de coloc de Nantes sont arrivés dans l'apres-midi me semble-t-il.
Gros flou dans les evenements.
Je sais qu'on a bougé au Jamclub, et que j'étais vraiment trop raide. J'ai fait un vieux spleech a L. "on peut rester pote blahblahblahblah..." Elle veut pas se mettre avec quelqu'un et je la comprend. Surtout avec moi, v'la le gain de point de loose. Je comprend d'ailleurs pas que l'ami colin n'ai jamais pensé à sortir avec moi!
Enfin, toujkours est-il qu'on a fini chez moi, trop cuit, il parait que j'ai vomit et que je me suis endormi dans les toilettes de mon appart...
dimanche 13/07
Yopui. Je me réveille à coté de L. Enfin, je sais plus trop je crois que j'ai du me rendormir par la suite. Le réveil se refait vers 15h selon la lettre que L. m'a laisséeavant de repartir. C'st beau. C'est independant. Dans mon cerveau, bon gros black-out, fallait que ça arrive un soir où L. était là. En même temps, on avait pas mis à coté, c'était des retrouvailles bien arrosées. Se fouter de la gueule d'un gars avec son t-shirt slipknot me donne un souvenir plutot marrant de la soirée... Même si j'ai encore une fois merdé... Et je m'en fout... Ca devait pas être elle la femme de ma vie... Pas de déprime mais une sensation chelou. Je crois qu'on a beaucoup de points communs alors ça me fait peut-etre flipper donc du coup je fuis dan sl'alcool? Qui sait? En tout cas, s'inventer des excuses n'arrangera rien, même si on s'est bien poilé la veille.
Mais bon, on ne s'arrete pas si facilement quand on vit avec des arrachés. Donc, on a enchainés dès le réveil. Blam, dans ta gueule.
Et le moins qu'on puisse dire c'est qu'on a pas fait les choses à moitié.
On a passé l'apres-midi à la terrasse du BD café. Convivial. Feu d'artifice à la table grâce à T. On a bu, je renconter M. qui habite dans l'immeuble à côté du BD café, je lui montre mes fesses dans son hall d'immeuble, échange de numéro pour plan cul ultérieur. Parfait, surtout que je rejoignais une autre M. à 21h, rencontrée par le biais du net. En fait, j'avais completement oublié mon rendez-vous, heureusment qu'elle m'a envoyé un message à 21h pour me dire qu'elle serait en retard. Elle a bien fait, l'euphorie de l'après-midi, le beau temps, la bonne compagnie et l'alcool me l'avait fait completemetn zappée...
Je capte la demoiselle en question dans le centre et come-bac au BD. On fuit, après avoir payé 85€ d'alcool divers. Fallait bien retourné à la réalité mais je crois encore qu'on a trop picolé ce jour. On repart chez moi. Il fait trop chaud, R. se fout à poil et la seconde M. hallucine bien. Elle marquera sur son MSN "super WE" donc faut croire qu'on étaient pas assez grave. M. est partie vers 2h du mat', non sans qu'avant son départ je lui roule une grosse galoche sur le trottoir devant chez moi, ce qui, au vue demon état de dépravation relevait de l'exploit. De plus, deux M. dans la même journée, c'était un honnete score.
Les schmitts sont passés peu de temps après.
Cet épisodes, malgré qu'il se soit bien passé, m'a énervé. Les chiens de garde du capital ne devaient pas tripper sur No place for soul.Ni sur nos beuglements et autres cris qui devaient résonner dans la nuit depuis un moment déjà.
Du coup, on a levé le camp dans la nuit. Bougeage, T. est resté dormir à l'appart', tandis que nous partions rejoindre E. sur la route. Enfin, L.H. rejoignait E. plutôt...
La piste continue, 13 et moi passons un momentà se foutre la gueule de R. Les vestes tektonik ç anous botte pas trop. Nous rebaptisons L.H. Yasser grâce à ses chaussures de palestiens qui étaient en fait des sandales. Mais bon, tout est support à la poilade quand on traine avec nous.
Le bar le Welsh est fermé, E. que du coup nous avions rejoins (ou du moins c'est elle qui nous a rejoins) nous invite dans son appart où il y a de la vodka. Arrivée sur place, la bouteille s'achève en 10 minutesn je crois qu'on a pas trop compris ce qui c'était passé...
Un pote à E. lui avait dépanné une boul's du coup on s'en ai cramé deux alors que yasser s'endormait sur le sol. R. à poil, choississait de la zik sur l'ordi de E. Trop la classe pour la deuxième soirée qu'elle passait avec nous. 13, R. et moii décollons, laissant les deux asticots se rouler des pelles. Ou plutôt E. roulant des pelles à L.H. allongé sur le sol de l'appart'...
L'après-midi, on nous avait refilé un fly pour un after soit disant ragga-reggae, on décide donc d'y aller, c'était au bout de la rue.
Ca démarre par les gypsy kings dans le bar où ça se passe et c'était vraiment trop drole. Surtout 13 et moi qui dansonsen se touchant afin d'être catégorisés gay dans ce bar rempli de racailles. Bon délire, à part R. qui était trop saoul et qui se faisait chier. On boit une bière 13 et moi et un whysky pour l'autre rochon et on décolle une 20aine de minutes après (mais quelle notion du temps à cette heure là de la nuit?) et on repart chez moi.
On est arrivé à 6h23, on reste triper une bonne heure avant que nous nous ecroulions comme des merdes chacuns notre tour, moi dormant sur la moquette de ma chambre après avoir au préalable piqué la couverture à 13 et T. qui squattaient mon lit.
lundi 14/07
La fete nationale se réveille et nous avec. Une sacré gueule de bois pour moi. On glande sur internet inscrivant les amis sur adopteunmec, et ça c'est la classe.
Que de la glande et ça me va. Pas une goutte pour moi aujourd'hui. Je fais du nettoyage dans l'appart', il le meritait. Il y a des panneaux de signalisations au milieu du salon, des fringues partout, enfin, un lendemain de riboul. Ca pue, il y a des carottes qui ont moisies, c'est gerbant. La défaite après la fête? Non, plutôt un lendemain de cuite comme un dimanche sauf que c'est lundi et qu'il y a boulot demain.
Je me dit au cours de l'après-midi que je baiserai bien M. (la 2nde aka M. la tressée) en ce jour saint.
Stratégie car mon ex, J. doit passer récupérer des affaires chez moi (elle avait encore les clés de mon appart à ce moment là).
Je bouge donc rejoindre M. dans un parc où elle promène son chien. Roulage de galoche, j'ai un peu du mal avec elle, elle cause pas trop et la veille j'étais plus bourré, le débit de parole et la tchatche était facilités.
Enfin, on passe chez elle, poser son chien. Blah, blah ça me gave, je lui propose un killer. Ca doit etre la tête dans le cul mais je trouve que ça craint. On taille au centre ville car elle habite en périphérie d'Angers, puis nous allons rejoindre ma louloute L.H., toujours chez E. Re-les escaliers de la mort qui tue. NOus commandons des pizzas puis laissons habilement les deux filles pour aller chercher les pizz avec L.H. Crise de rire, étonnant, non?
Le pizzaiolo nous reconnait, je m'inquiètes du fait de notre popularité au bout d'un week-end. On a trop la redemption attitude à mon avis "
là s'arrête ce que j'ai pu écrit sur ce week-end
on a passé la nuit chez M., elle n'a pas voulu coucher le premier soir. Ok, du coup il n'y a pas eu pénétration mais on a jouer avec nos bouches et nos langues.
Et le lendemain je repartais au boulot...